Tout d’abord on attend, c’est un jeu de patience. On attend le bon moment, On attend le soleil, les nuages, le vent, On lève les yeux au ciel, on rêve de l’envol … Une navette nous conduit sur le sommet de nos songes … On y rencontre d’autres rêveurs, on discute, on sourit, on rit aussi parfois … … pourtant nos regards sont inévitablement tournés vers la vallée, vers le.
Sur Facebook, partager en « Public » quelque chose qu’on ne réserve qu’à une seule personne … La voir seule répondre à ce message … Vivre cette sensation d’avoir saisi son regard au milieu de la foule … L’admirer, se comprendre … Aimer davantage les bouteilles à la mer …
Après avoir vécu le vent, le soleil, les nuages, et les petites pointes discrètes d’adrénaline venant heurter le cœur, je viens de me poser sur la terre. Je viens de la toucher au sens propre, j’ai joué à l’oiseau pendant près de 2 heures et Newton m’a gentiment rappelé qu’il faut, passé un temps, redescendre sur le plancher des Hommes.
Toucher sa main, simplement, Ressentir la chaleur, Le grain de sa peau, Y déceler les battements de son cœur. Ne pas chercher le plaisir, Ne pas en donner, Ne pas en recevoir … Simplement vivre cette connexion, Et laisser faire le temps …
Après une journée des plus classiques je suis rentré chez moi un peu plus tôt que prévu. Il y avait un concert de la talentueuse Louane au Palais Nikaïa et on avait prévu des bouchons sur l’autoroute.
Je me réveille la bouche pâteuse avec une envie profonde d’envoyer valdinguer ma vie actuelle. C’est étrange ce sentiment de tristesse et de mélancolie qui se mélange onctueusement à la colère. Je sens que ça bout à l’intérieur mais il me manque quelque chose pour tout évacuer ; peut-être un vrai caractère, d’aucun dirait « des couilles » tout simplement.
J’ai bossé le reste de la journée sur le devis MONROE, et puis je suis rentré chez moi non sans passer par le petit monoprix de la rue Biscarra, j’avais une irrésistible envie de Sushis. Bien sûr il n’y en avait plus et je me suis rabattu sur une espèce de tarama avec des blinis et une petite bouteille de blanc, un côte de Provence afin de boire local et.
Ne penser pas une seule seconde que vous allez pleurnicher devant les déboires d’une famille pauvre du Nord ! Non ! Vous n’allez pas pleurnicher ! Vous allez vous fendre la poire devant François Ruffin cherchant à réinsérer Bernard Arnault, cherchant à l’aider à sortir de son grand isolement social.
Ce matin on aurait dit que Blanzin m’attendait dans mon bureau. Il est bizarre ce gars. Je l’ai retrouvé assis sur son fauteuil, les bras croisés, légèrement tourné vers la porte comme s’il espérait que je l’a franchisse. Je suis allé vers lui, lui ai tendu la main pour lui dire bonjour
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